• Voyage en Italie

     

    Auteur : Goethe

    Date de 1ère parution : 1816 - 1817

    Editions : -Bartillat Editions, édition établie par Jean Lacoste, 642p, 2003 ; - Omnia Editions, traduit de l'allemand par Jacques Porchat, révision de Jean Lacoste, 650p, 2011.

    Genre : Récit de voyages ; autobiographie.

     

    Présentation :

    Ce Voyage en Italie de Goethe est important à plus d'un titre. On petit légitimement considérer qu'il a marqué une rupture dans sa vie. En prenant la route du Sud en 1786, Goethe a voulu échapper à un univers qu'il sentait trop pesant : " Je me suis enfin de Carlsbad à trois heures du matin : autrement on ne m'aurait pas laissé partir. " Il se dérobe incognito, à la hâte, affronte les périls et se métamorphose en Wanderer : le voyageur, le vagabond, l'errant. Commence alors son odyssée. qui durera jusqu'en 1788 et qu'il retrace dans ce récit où se mêlent l'art et la vie. Goethe traverse Vérone, Vicence. Venise, Padoue, Ferrare, Bologne, Florence, Pérouse, Rome, Naples, Palerme. Il admire l'art classique. contemple les paysages, se lie avec les populations : son expérience est intense. Ce Voyage en Italie, publié seulement en 1816 pour la première fois, depuis longtemps indisponible en France, compte parmi les plus célèbres relations de voyage allemandes et s'inscrit dans le projet autobiographique de l'auteur de Faust. La traduction de Jacques Porchat a été révisée et complétée par Jean Lacoste qui signe aussi une remarquable préface où est exposé l'art du voyage chez Goethe, pour qui le déplacement ne saurait aller sans une renaissance et la redécouverte de soi.

     

     

     


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  • Les cavaliers afghans

     

    Auteur : Louis Menunier.

    Date de 1ère parution : 2014. 

    Editions : Kero Edition, 336p, 2014.

    Genre : Récit de voyages.

     

    Présentation :

    « Dans ce pays sans âge, on ne parle pas en nationalités, mais en peuples. On ne compte pas en kilomètres, mais en jours de route. Quand on se quitte, on se dit Zenda Bashi, sois vivant, parce que l’existence est incertaine. »

    En 2002, Louis Meunier, tout juste diplômé, décide de plaquer une carrière tracée d’avance et de partir à l’aventure en Afghanistan. Il est ébloui par la beauté du pays et la dignité de ses habitants. Mais surtout, fasciné par la lecture des Cavaliers de Kessel, il rêve d’assister à un buzkashi, tournoi où les cavaliers ont droit à tous les coups pour déposer dans le cercle de justice, une dépouille de chèvre. Ces cavaliers redoutables, les tchopendoz, ne craignent ni les blessures ni la mort. Les combats sont d’une violence inouïe. Louis n’aura bientôt plus qu’une idée en tête : trouver le cheval de ses rêves pour, à son tour, devenir tchopendoz.

    Louis Meunier livre un puissant récit initiatique dans l’Afghanistan des légendes et des esprits : l’Ashvagan, littéralement en persan, « la Terre des chevaux ».

     


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  • Mary Kingsley, La montagne des Dieux.

     

    Scénario : Esteban Mathieu et Guillaume Dorison.

    Dessin : Julien Telo, avec la collabortation de Benoit Dellac, Jean-Bapstiste Hostache et Didier Poli.

    Couleur : Marc Sintes, Makma et Didier Poli, Jean-Basptiste Hostache, Elysum Studio.

    Couverture : Julien Telo, Marc Sintes et Jean-Basptiste Hostache.

    Conception Général : Christian Clot.

    Edition : - Glénat, Collection Explora, 56p, 2012.

    Genre : Biographie romancée, récit de voyages, récit d'exploration.

     

    Présentation :

     Lorsqu'elle débarque en Angola au milieu de l'année 1893, Mary Kingsley n'a connu que trois choses : son quartier de Londres qu'elle n'a jamais quitté, sa mère malade dont elle s'est occupée et les écrits de voyages africains d'un père toujours absent.

    Pourtant, à la mort de ses deux parents, elle embarque aussitôt pour une Afrique où sauvagerie, violence et horreur se côtoient selon les récits des explorateurs. Une Afrique dont elle ne connaît rien, mais qui lui a volé son père ! Elle est venue pour mourir. Ce qu'elle va vivre lui en coupe l'envie ! Dans la forêt tropicale, sur des fleuves ou des montagnes, elle apprendra les rudiments de la survie en milieu hostile, rencontrera des tribus « cannibales et sauvages » pourtant si riches, et ira plus loin que nul n'a encore été.

    Au travers du regard d'une femme qui deviendra l'avocate infatigable du mode de vie africain, ce voyage, parfois au cœur de l'enfer, est un hymne aux échanges culturels et à la tolérance.Les grands explorateurs ont toujours repoussé les limites de notre monde et des connaissances. Souvent en marge de leur époque, trop en avance, extrêmes et écorchés vifs, ils ont ajouté leurs découvertes à la gloire des pouvoirs en place, tout en leur faisant peur... Ce que l'on garde d'eux dans les livres d'Histoire ne correspond pas à la réalité exacte des évènements, mais à une partie de cette réalité, celle qui a pu passer à la postérité. On sait que dans tout événement historique de nombreuses zones d'ombres existent, que ce soit dans le but de simplifier la réalité, pour des raisons politiques ou par manque d'information. Il en va de même dans l'Histoire de l'exploration.

     

     

    Note : Dossier historique à la fin de l'ouvrage.


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